Temoignage_VN_projet_biogaz
Grâce à notre cuisinière à biogaz, nous n’avons plus besoin d’aller chercher du bois.
Mông Thu, mère de 2 enfants, Tra Cù, Vietnam
Grâce à notre cuisinière à biogaz, nous n’avons plus besoin d’aller chercher du bois.
Mông Thu, mère de 2 enfants, Tra Cù, Vietnam
Mes enfants n’ont plus eu de diarrhée depuis six mois. C’est un soulagement. Les maladies liées à l’eau ont quasiment disparu du village. Comme nous sommes moins malades, nous pouvons économiser de l’argent et améliorer notre productivité économique.
Kalo, mère de 4 enfants du village de Kianjasoa à Madagascar
Avant, nous vendions notre bétail pour éviter de mourir de faim. Aujourd’hui, nous avons suffisamment à manger grâce à la banque de céréales communautaire !
Madou Thiaw, habitante de Touba Cocky au Sénégal
A cause du changement climatique, les cultures de la saison des pluies ne nous permettent plus de vivre. Aujourd’hui, grâce aux jardins et aux puits, nous cultivons toute l’année. Nous avons assez à manger et pouvons même vendre une partie de notre production.
Mariam Ouedraogo, mère de 5 enfants à Zouma au Burkina Faso
Je partais tard dans la nuit me soulager en brousse. Cela me rendait vulnérable. Le centre de santé recevait souvent les victimes. Grâce aux latrines, cela fait désormais partie du passé.
Kadiatou Nana Camara, habitante de Kantiré en Guinée
Depuis votre appui, nous ne craignons plus les colons et nous pouvons vivre normalement dans notre forêt. Nous continuons à la protéger car elle abrite tout ce qui a un sens pour nous.
Felipe Ëpë, chef de communauté, Apurimac, Pérou
La qualité des nouveaux bâtiments, l’équipement et les ouvrages scolaires octroyés ont beaucoup contribué à l’amélioration de la prise en charge des élèves. L’assiduité et l’implication des élèves ont déjà évolué positivement.
Etienne Rakotomalala, 33 ans, enseignant de Tsarahonenana à Madagascar
Avant, nous ne savions produire que le gari ordinaire. Aujourd’hui, nous maîtrisons la production de farine panifiable pour faire des beignets. Maintenant, nous pouvons accomplir ce qui était auparavant réservé aux hommes, grâce à l’utilisation des machines.
Zonkponde Zondoga, présidente d'un groupement féminin au Bénin
Nous avions une récolte de tout juste 750kg de paddy avant la mise en place de l’irrigation agricole, ce qui ne nous permettait même pas de couvrir la consommation annuelle de ma famille. Notre production a triplé depuis! L’autre avantage est que nous pourrons cultiver notre surface durant toute l’année.
Georges, propriétaire de 1.8ha d’Ambatomitsangana à Madagascar
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